1 Le narrateur vit en Normandie. De sa fenêtre, il voit : Le Havre. Avranche. Rouen. Le mont Saint-Michel. 2 Quel type de navire ne figure pas parmi ceux que le narrateur observe ? un remorqueur. une goélette. un paquebot. un trois-mâts. 3 Selon le narrateur, nos sens sont insignifiants. ordinaires. exceptionnels. misérables. 4 Au bout de combien de temps, le narrateur consulte-t-il un médecin ? un mois. une semaine. dix jours. un trimestre. 5 Chaque soir, le narrateur appréhende d'aller se coucher. Que fait-il pour se rassurer ? Il donne deux tours de clefs et regarde sous son lit. Il demande à son valet de chambre de rester près de lui. Il laisse une bougie allumée près de son lit. Il cache un poignard sous son oreiller. 6 Alors qu'il se promène dans la forêt de Roumare, le narrateur a la soudaine impression que quelqu'un l'épie. quelqu'un le frôle. quelqu'un lui parle. quelqu'un le suit. 7 Comment le narrateur rejoint-il le mont Saint-Michel depuis Avranche ? à pied. à cheval. dans son coupé. à bicyclette. 8 "J'entrai dans ce gigantesque bijou de granit (...)". De quoi parle le narrateur ? Il parle d'une grotte. Il parle d'une abbaye. Il parle du mont Saint-Michel Il parle d'un château. 9 D'après une légende, qu'est ce que les incrédules croient entendre la nuit dans les sables ? Les bêlements d'une chèvre et d'un bouc. Le sifflement du vent. Le bruit des pas d'un vieux berger. Les cris des oiseaux de mer. 10 Quel exemple le moine donne-t-il au narrateur pour expliquer que nous ne voyons pas tout ce qui existe sur terre ? L'électricité qui éclaire les rues mais qu'on ne voit pourtant pas. La musique que l'on entend mais que l'on ne voit pourtant pas. Le vent qui siffle mais qu'on ne voit pourtant pas. Les microbes qui tuent mais qu'on ne voit pourtant pas. 11 La nuit, dans ses cauchemars, le narrateur à l'impression que quelqu'un ou quelque chose puise sa vie dans sa gorge comme le ferait un vampire. une chimère. un gnome. une sangsue. 12 Avec quels aliments le narrateur mène-t-il une expérience pour savoir s'il est fou ou somnambule ? Avec du vin, du lait, de l'eau, du pain et des fraises. Avec du vin, du lait, de l'eau, du thé et des fraises. Avec du lait, de l'eau, du thé, du fromage et des framboises. Avec du lait, de l'eau, du pain, du vin et des framboises. 13 À Paris, le narrateur se rend au Théatre-Français où il est joué une pièce de Alexandre Dumas fils. Henri Becque. Alfred de Musset. Victor Hugo. 14 Le quatorze juillet est le jour de la fête de la Nation. la fête de la Bastille. la fête de la République. la fête de l'Empire. 15 La cousine du narrateur s'appelle Madame Sablêt Madame Sablais Madame Sablé Madame Sablet 16 Au cours du dîner chez la cousine du narrateur, le docteur Parent cite une parole de Voltaire. Laquelle ? Ce n'est pas Dieu qui a crée l'homme mais l'homme qui a crée Dieu. Dieu a fait l'homme à son image, mais l'homme le lui a bien rendu. Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer. Si l'homme était parfait, il serait Dieu. 17 À quel médecin le docteur Parent fait-il référence au cours de sa conversation avec le narrateur ? Au docteur Franz Anton Mesmer. Au docteur Armand Trousseau. Au docteur Sigmund Freud. Au professeur Jean-Martin Charcot. 18 Pendant la séance d'hypnose, le docteur Parent place entre les mains de Madame Sablé : une carte de visite. un article de presse. une photographie du narrateur. un petit miroir. 19 Le lendemain du dîner, Madame Sablé se rend chez le narrateur pour lui prêter la somme de cinq mille francs. lui demander de verser la somme de cinq mille francs à son mari. lui rembourser la somme de cinq mille francs. lui emprunter la somme de cinq mille francs. 20 De retour chez lui, le narrateur relate une dispute entre les domestiques qui prétendent qu': on casse des verres, la nuit, dans les armoires. on mange le pain, au petit matin, dans la réserve. on allume des bougies, la nuit, dans le couloir. on vide les carafes de lait, le soir, dans les placards. 21 Au cours d'une promenade dans son jardin, le narrateur voit soudain une main invisible saisir une rose: rose. blanche. jaune. rouge. 22 "Certes, je me croirais fou, absolument fou, si je n'étais conscient, si je ne connaissais parfaitement mon état, si je ne le sondais en l'analysant avec une complète lucidité". Après, cette réflexion, le narrateur déclare qu'il serait donc comme un halluciné raisonnant. un insensé logique. un fou réfléchi. un dément raisonné. 23 "Je n'ai plus aucune force, aucun courage, aucune domination sur moi, aucun pouvoir, même de mettre en mouvement ma volonté". Le narrateur exprime son ressenti en concluant : Je ne peux plus vouloir, mais quelqu'un veut pour moi ; et j'obéis. Je ne veux plus vouloir, mais quelqu'un pense pour moi ; et j'obéis. Je ne sais plus vouloir, mais quelqu'un décide pour moi ; et j'obéis. Je ne pense plus vouloir, quelqu'un veut pour moi ; et j'obéis. 24 Le narrateur dit qu'il a l'impression que quelqu'un possède son âme et la gouverne. Il compare sa situation avec celle de sa cousine lorsqu'elle était sous hypnose. celle d'un esclave enferré aux rames d'une galère. celle d'un malade fiévreux en proie aux hallucinations et aux convulsions. celle d'un condamné que l'on mène à la guillotine. 25 Quelle découverte le narrateur fait-il dans un article de la Revue du Monde scientifique ? Il découvre qu'une sorte d'épidémie de folie, similaire à ce qu'il vit, s'est emparée d'une province brésilienne. Il découvre que l'être invisible qui habite son âme s'appelle le Horla. Il découvre que les médecins qui pratiquent l'hypnose s'amusent en réalité avec des forces invisibles dont ils ignorent la dangerosité. Il découvre que le Horla a pour intention de dominer et asservir l'homme. 26 Qu'est ce que le narrateur voit dans le miroir lorsqu'il tend un piège au Horla ? Il voit son propre reflet. Il ne voit rien. Il voit une forme brumeuse. Il voit le reflet de ses meubles. 27 Pourquoi le narrateur abandonne l'idée de tuer le Horla avec du poison ? Parce que ça ne serait probablement pas efficace. Parce qu'il est très difficile de s'en procurer. Parce que cela provoque une horrible agonie. Parce qu'il a peur de s'empoisonner accidentellement. 28 pourquoi le narrateur veut-il mettre fin à ses jours ? parce qu'il est accablé d'avoir causé la mort de ses domestiques. parce qu'il assiste impuissant, à la destruction de la maison de ses ancêtres. parce qu'il pense que c'est la seule solution pour exterminer le Horla. parce qu'il ne veut pas finir sur l'échafaud