La Dernière classe

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Les bancs polis par le temps

Pendant la leçon d’écriture, Franz réfléchit au fait que bien peu de choses ont changé dans la classe depuis que Hamel a commencé à y enseigner il y a quarante ans. Daudet écrit “Seulement les bancs, les pupitres s’étaient polis, frottés par l’usage ; les noyers de la cour avaient grandi, et le houblon qu’il avait planté lui-même enguirlandait maintenant les fenêtres jusqu’au toit”. Cet exemple illustre le passage du temps en détaillant la croissance et l’usure des objets qui meublent le décor.

Le grincement des plumes sur le papier

Franz et ses camarades n’ont jamais été aussi concentrés que pendant cette dernière leçon de français. Il se dit “Il fallait voir comme chacun s’appliquait, et quel silence ! On n’entendait rien que le grincement des plumes sur le papier”. Cette description auditive illustre le silence de la pièce en insistant sur le son discret des élèves qui écrivent.